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vendredi 17 novembre 2023

Fées, ogres et lutins, contes merveilleux t2 - collectif

 Hop, une petite lecture de plus avant de s'acheminer vers la fin du mois Halloween ( bon, d 'accord, la fin officielle c'était la semaine dernière, mais pas grave, je prolonge)


Tome 2 alors que je n'ai pas lu le tome 1? Hé oui  je l'ai trouvé en boite à livre.
Bon ce n'est pas non plus une édition très intéressante, car c'est une édition scolaire et plus de la moitié des pages sont des jeux et tests à faire en classe avec un prof ( il n'y a pas les réponses à la fin)

Mais bon l'intérêt c'est que les contes présentés ne sont pas les plus connus.

- Les fées ( Perrault): l'histoire de 2 soeurs, la gentille, qui est évidemment l'esclave de sa mère et la méchante, à qui la mère passe tous ses caprices. Lorsque la gentille va puiser de l'eau à la fontaine, elle est abordée par une vieille dame qui lui demande de l'eau. c'est évidemment une fée qui en remerciement de sa serviabilité lui jette un " gentil sort": chaque fois qu'elle parlera, elle crachera des pierres précieuses. La mère insiste alors auprès de son autre fille, qui, de très mauvais gré, part à la fontaine et est abordée, non par une vieille dame, comme elle s'y attendait, mais par une autre fée, habillée en femme riche. La méchante fille met une très mauvaise volonté à rendre le service demandé, et est maudite: à chaque phrase , elle crachera un crapaud. La mère, voyant la malédiction en rend responsable la première et la chasse. La fille va donc pleurer dans les bois où arrive un roi, subjugué par sa beauté, sa gentillesse, son abnégation (et cette curieuse compétence " il vit sortir de sa bouche cinq ou six perles et autant de diamants et la pria de lui dire d'où celà lui venait" .. mouais on te voit venir!) En fait, non c'est clairement dit, il trouve que " un tel don vaut mieux que tout ce qu'on peut donner en mariage à un autre" ( mouais tu serais pas un peu, beaucoup, bien plus intéressé par le sort que par la nana?  Pour moi la suite c'est " ils vécurent heureux et à chaque fois que la trésorerie était à sec, il faisait parler sa femme pour renflouer les caisses"). Je connaissais cette histoire depuis longtemps mais je ne me souvenais plus du titre ou de l'auteur. Par contre, la version que j'ai du lire étant jeune était expurgée du côté avide du roi, parce que , regarder le compte en banque de la dame plus que ses qualités, c'est moyen quand même.

- Dame Trude ( Les frères Grimm) une histoire très courte qui explique que la curiosité est un vilain défaut et qu'il faut toujours se méfier des vieilles dames qui habitent dans la forêt. Une petite fille à qui on a raconté qu'il faut éviter Dame Trude, parce que c'est une sorcière, veut savoir ce qu'il en est vraiment, et y va quand même. Il lui en cuira. Au sens propre. Ha, ben, on est chez les frères Grimm et ils n'y vont pas de main morte ( lol) lorsqu'il s'agit de faire passer leurs personnages de vie à trépas.

Il y a quelques jours je suis tombée sur cette image légendée:
" Quand tu lis un conte de fée, mais que c'est la version allemande"
Ha ben, c'est clairement PAS la version Disney

- Le cercueil de verre ( Frères Grimm), une histoire qui tient à la fois du petit tailleur, de la belle au bois dormant, de Blanche-neige et de pas mal d'autres.
Un tailleur pauvre, mais honnête, se perd dans la forêt, et après quelques mésaventures, voit un curieux spectacle: un cerf et un taureau se battent en duel, le cerf gagne et et éventre le taureau avec ses bois ( Version allemande, on vous dit). le cerf enlève littéralement le tailleur et l'emmène dans une grotte ( et être enlevé par une bête si enragée qu'elle peut tuer un taureau, pas glop!). Grotte enchantée où le tailleur, comme un voit du curieux matériel: fioles remplies de brumes multicolores, pierre mobiles qui jouent le rôle d'ascenseur ( on dirait le premier Prince of Persia!), et deux boîtes en verre: dans l'une une maquette superbement détaillée d'un château, pas un créneau ne manque. Dans l'autre une (jolie, hé ho) femme endormie, qui se réveille à son approche et lui dit d'ouvrir le loquet du cercueil. En sortant elle lui raconte sa mésaventure: C'est une comtesse (Célibataire. Elle s'entendait si bien avec son frère que les deux avaient décidé de rester célibataires et de vivre et régner ensemble. C'est chelou!) qui a été maudite, elle et sa famille, parce qu'elle a refusé les avances d'un sorcier. Le comte a été transformé en cerf, la comtesse plongée dans un coma artificiel "jusqu'à ce que l'élu vienne la réveiller". La miniature en boite c'est tout le château qui a été réduit à petite échelle, les fioles de brume, ce sont les larbins. Le sorcier c'est évidemment le taureau qui a été tué, rompant ainsi le sort qui scellait la caverne.
Et là, oh, my! Incroyable, la nana AGIT: elle explique quoi faire, avec son sauveur, elle trimballe le château miniature dehors, et pouf! il reprend sa taille. Puis elle ouvre les fioles et re-pouf! les brumes redeviennent des gens loufiats (faut pas pousser, ils ne vont pas non plus toucher leur plusieurs années d'arriérés de gages et aller prendre leur indépendance financière). Re-re-Pouf! Le cerf redevient comte.
Et le tailleur? Ben il se marie évidemment avec la comtesse, et va donc régner avec sa femme et son beau frère. Bon, finalement il n'a pas fait grand chose à part s'étonner et ouvrir un loquet, en fait. Mais au moins il n'a pas roulé de palot forcé à la fille, c'est déjà ça.
Mouais, y'a quand même plein de choses qui ne vont pas trop dans cette histoire: le mec ne sert pas à grand chose, donc honnête ou pas, ça ne change rien, ça aurait pu être une voleur que bon.. pareil!
La fille et son frère, mouais.. ça ressemble quand même à une histoire d'inceste qui se finit en ménage à trois.

-L'anneau magique ( conte tunisien) : une variante de l'histoire d'Ali Baba. Un homme pauvre a trois fille et un fils, et alors qu'il n'a plus un sou, il apprend qu'il y a un pays magique où les pierres précieuses poussent sur les arbres. Mais pour y arriver, il faut passer 3 ogres gardiens. Chaque ogre lui propose donc un marché: je te laisse passer si tu me donne une de tes filles en mariage " ha ok, cool, mais seulement après ma mort". Magnifique, il vend donc ses filles contre un laissez-passer. et evidemment, hop, moisson de pierres, retour au bercail, on vit richement un certain temps puis.. il meurt et les ogres viennent chercher les filles.
Seul le fils, Ali, reste , et hérite d'un coq. Il se le fait subtiliser par ruse par un sorcier, le récupère de justesse mais... bon que faire? Autant le faire cuire et le manger. Et à l'intérieur du coq, il y a, ho miracle, un anneau qui fait apparaître un génie: grâce à ça la fortune d'Ali est faite: chameaux, palais, richesse, la fille du sultan en mariage, le truc habituel. Jusqu'au jour ou le sorcier le retrouve et se met en tête de punir le voleur qui lui a volé ce dont il lavait d'abord arnaqué..
Sauf que.. stop stop stop. Vous vous souvenez des 3 filles casées avec les ogres? Ben, apparemment les ogres sont des maris sympas, puisqu'ils viennent avec 3 armées au secours de leur beau-frère. MUSIQUE! Yep, je sais, mais je ne pouvais pas louper ça (je n'ai pas d'images en tête quand je lis quelque chose, par contre, j'ai la bande son qui va bien).

- Outroupistache ( Frères Grimm): Un meunier vantard prétend que sa fille est capable de filer la paille et de la transformer en fil d'or. Le roi du pays, très cupide, est fort intéressé par ce talent, et séquestre donc la fille avec la tâche de filer la paille et de l'avoir transformée en or au matin, sous peine d'avoir la tête coupée ( très cupide et très cruel aussi puisqu'elle n'a rien fait.. c'est son père qui lui a attribué cette fausse compétence). alors qu'elle voit déjà sa dernière heure arrivée, un lutin se présente devant elle et lui propose de faire ce travail en échange d'un cadeau, la fille lui propose donc son collier. Et au matin miracle, le lutin a filé toute la paille en or. Le roi cupide, se dit que bon, une telle aubaine.... ce serait bien qu'elle arrive deux fois, et rebelote: même tâche, avec encore plus de paille, et même menace.  Et même procédé, la fille propose au lutin sa bague en échange.
Mais le roi n'est toujours pas satisfait, et.. re-rebelote: encore plus de paille, mais cette fois, la menace est encore pire, puisque si elle réussi , il épouse la fille ( et vu le roi, épouser un type capable de menacer quelqu'un s'il n'accomplit pas un prodige .. elle risque de ne pas garder sa tête sur son cou bien longtemps). Mais comme elle n'a rien a échanger, cette fois le lutin lui demande: " une fois que tu sera reine, tu paiera ta dette en me donnant ton premier enfant". Promesse pour se donner le temps de trouver une solution. Miracle, mariage, tout ça, et la reine oublie totalement sa promesse. Et se trouve donc contrainte de devoir tenir sa parole. Elle et le lutin vont trouver un terrain d'entente: elle a trois jours pour trouver le nom du lutin, si elle échoue, il emmènera l'enfant. Si elle réussit, elle est libérée de sa dette.
Je suis donc allée chercher le titre, car je connaissais cette histoire sous un autre: le nain Tracassin, et je pense qu'il est plus courant que "Outroupistache", vague déformation du titre allemand " Rumpelstilzschen" ( ça sonne déjà plus germanique, et signifie à peu près " petites échasses grinçantes") et on y retrouve cette idée assez répandue dans le monde que connaître le nom de quelqu'un, c'est avoir du pouvoir sur lui. Et d'ailleurs seul le lutin sera nommé, les autres sont toujours définis par leur métier ou leurs lien de famille: le meunier, le roi, la fille du meunier, le messager...

- Le Manoir de Coatbily ( légende bretonne), met en scène un endroit qui existe réellement, près de quimper. On raconte que le manoir était envahi la nuit par les korrigans, pas dangereux, mais extrêmement énervants, qui rendent chèvre le châtelain et sa famille en faisant du tapage à la manière d'esprits frappeurs. La solution proposée pour se débarrasser des korrigans est la suivante: leur tendre un piège une nuit de grand vent, en faisant en sorte que leur entrée fasse tomber et disperser un sac de son ou de plumes. Les Korrigans sont tenus par leur nature de tout rassembler, et si les plumes s'envolent au vent, il ne pourront pas tout récupérer, et meurtris dans leur orgueil, partiront casser les ripatons à quelqu'un d'autres. Je sais donc pourquoi il n'y a pas de Korrigan à Avignon: le Mistral entte 120 et 160 jours par an ( Le nom Avignon même signifierait " ville du grand vent" ou "seigneur du fleuve"). Un climat à ne pas mettre un Korrigan dehors.

- La Tarasque ( légende provençale), tiens puisqu'on parle d'Avignon, cette histoire se passe à proximité de chez moi, entre Avignon, Arles et le Thor, et principalement Tarascon. Un monstre y sévissait au début du premier siècle, dévorant les troupeaux et causant beaucoup de dégâts. La bête sera finalement capturée par Sainte Marthe, qui passait par là. Et c'est vraiment le cas: expédie avec quelques copines saintes, dont 3 sont prénommées "Marie", sur un radeau, depuis le proche orient, " allez, on est gentils on ne vous massacre pas, on vous envoie sans bouffe sur un radeau en pleine mer, en espérant que vous couliez, bon vent", elles arrivent totalement par hasard près du delta du Rhône, zone absolument repoussante, pleine de marécages et où personne ne viendrait volontairement. C'est l'origine légendaire du nom " Les Saintes-Maries-de-La-Mer", à l'endroit où elles auraient débarqué. En tout cas la légende est bien connue ici, on la raconte dès l'école primaire, fait partie du folklore et des fêtes locales. Elle est si connue que des os fossilisés trouvés dans le sud ont fait nommer leur préhistorique possesseur " Tarascosaure" en 1991. Je me dis que c'est peut-être même l'origine de la légende, popularisée à la Renaissance: si un pinpin de l'époque a trouvé un squelette de dinosaure, il aura alors pensé à la légende du dragon local. Sans savoir que la bestiole en question ne crachait pas de poison, mais devait être très dangereuse malgré ses ridicules petites papattes avant, et sa taille plutôt modeste.
Taille estimée à partir d'un seul fémur, mais qui sait si ce n'est pas un jeune qui aurait pu devenir bien plus gros comme les autres abélisauridés. En tout cas on est loin de la version mythologique: tête de lion, 6 pattes, carapace de tortue

Tiens, il est temps de demander à l'IA de bing de me le générer, histoire de se marrer.
"Un monstre à six pattes, une tête de lion, de grandes dents pointues, une crinière noire et une carapace de tortue . Il a des pointes le long du dos et une longue queue de serpent"
Y'a de l'idée, mais, 6 pattes, et une queue de serpent, pas une queue double avec une tête de serpent au bout!

6 pattes, tu ne sais pas compter jusqu'à 6? Mais j'aime bien sa tête de dragon-lion indonésien, qui est un bonus, puisque je ne lui ai pas dit que le monstre est supposé être la progéniture d'un monstre asiatique

la queue est mieux, mais je n'ai pas mes 6 pattes, tudieux!

- Le briquet ( Andersen): un conte totalement amoral!On peut être le type le plus mahonnête, et cupide, et panier percé, et voyeur,  du monde et devenir roi du Danemark. Je suppose que c'est le sel de l'histoire, et qu'Andersen y a discrètement mis un sens trèèès politique.
Un soldat en manoeuvre rencontre une sorcière sur la route. elle lui indique un arbre magique qui est la porte vers la richesse: sous l'arbre, il y a une grande salle dotée de trois portes, derrière chaque porte il y a un chien qui garde un trésor. Chaque chien a des yeux plus grands que le précédent, et garde un trésor plus important que le précédent. Elle prête donc au soldat un objet magique permettant de neutraliser les chiens, lui dit de prendre du cuivre, de l'argent et de l'or autant qu'il en veut, et pour elle, elle ne veut rien qu'un vieux briquet, qui se trouve là, un souvenir de famille oublié par sa grand mère des années plus tôt. Le gars ne se le fait pas dire deux fois, et remonte avec le pognon et le briquet, mais comme la sorcière ne veut pas lui dire à quoi sert le briquet, il la décapite. Cash!
Le gars, très riche va donc à Copenhague, mener la grande vie, entend parler de la fille du roi, qui est une belle femme, même que "personne ne l'a jamais vue, mais c'est une princesse, donc elle est forcément belle". Le jour où il se rend compte que le briquet permet d'invoquer les chiens et qu'ils peuvent comme un génie du proche orient, il va les utiliser pour aller reluquer la fille pendant son sommeil, l'enlever, se faire choper, échapper à la pendaison en invoquant ses chiens, leur faire attaquer le roi, devenir roi à sa place et épouser la fille, en échange de ... rester vivant.
Bref le conte se finit bien, mais... pas pour les valeurs morales qui sont bafouées du début à la fin, puisqu'on en déduit que " bah, être âpre au gain, tuer une vieille, enlever une fille et prendre le pouvoir par la ruse, c'est pas si grave, si à un moment donné, on a fait acte de générosité en distribuant de l'argent aux pauvres ". Andersen ne m'avait pas habituée à si peu d'honnêteté, elle est où, ta morale chrétienne, Hans-Christian, habituellement tu nous la colle partout?

-L'oiseau Phénix ( Andersen), haaa, on est sauvé, il se rattrape en liant l'histoire du Phénix au paradis, aux anges, à Adam et Eve. De ce fait, le phénix n'est pas pour lui une idole ou une légende païenne, mais quelque chose de tout à fait compatible avec le milieu chrétien. J'attendais qu'il symbolise l'espérance de retrouver un jour le paradis, mais ... non. C'est pour lui la lumière, le souffle lyrique, l'inspiration, qui n'a pas de frontière et son nom (on en revient à connaître le nom comme une formule magique) est Poésie.
J'ai du mal à considérer cette courte histoire comme un conte, plutôt comme une variation sur une légende, et je me demande comment est écrit le texte en danois: poème en prose avec effets littéraires, ou poème rimé, je suis à peu près sûre qu'il y a là des effets littéraires.

Ce qui est dommage dans ces histoires, c'est que dans le fond, le programme du titre soit assez peu suivi: fées: dans la première histoire plus 2 sorcières. Ogres: personnages secondaires de l'Anneau D'or. Lutins: un seul et des korrigans.
Mais le phénix ou la tarasque n'ont rien à faire là, plutôt dans une recueil sur les animaux fabuleux.
Plusieurs contes ont pour point commun, l'appât du gain ou du pouvoir.. mais là encore, plusieurs n'ont pas grand chose à voir.
Les contes de divers pays, pourquoi pas mais là encore, il y en a deux de Grimm et deux d'Andersen, ça aurait été plus intéressant d'en insérer d'autres hors Europe. C'est bien d'avoir choisi des textes assez peu connus, au lieu du Chat Botté, de Hansel et Gretel ou de la Reine des Neiges, et d'avoir chercher des  choses moins courantes.
Mais oui, cette hétérogénéité me gêne, elle fait un peu trop pagaille, et donne l'impression que le tout n'a pas été envisagé avec une vraie idée générale.
Sur les pages " jeux", je les ai plus ou moins passées, l'absence de  réponses fait que le livre est inutilisable par un enfant hors contexte scolaire ( même les parents ne pourraient pas apporter une réponse définitive à certaines questions qui relèvent plus de l'opinion personnelle ( que symbolise ceci ou celà, à quel autre conte cette histoire fait -elle penser.. sachant que la typologie des contes est si vaste que selon la culture personnelle du lecteur, ça peut être tout et n'importe quoi; quelle est la morale de cette histoire? Typiquement, je ne pense pas que ma réponse " l'appât du gain est mauvais, mais on a la droit de décapiter quelqu'un sur un coup de colère, et de pénétrer la nuit par effraction dans la chambre de quelqu'un pour peu qu'on soit riche et puissant" ou " l'appêt du gain et l'emploi de la violence, c'est pas si grave, si tu te maries honnêtement avec la fille à la fin ( sans lui laisser le choix de refuser)" soient validées par l'éducation nationale.
Et là encore, la morale peut être totalement différente selon la culture personnelle du lecteur... N'oublions pas que " les gens moches, vieux ou pas très malins sont forcément mauvais et on a le droit de les harceler, voire de les tuer", c'était acceptable à une certaine époque, mais plus en 2023, heureusement.



1 commentaire:

  1. Oui, comme tu dis, heureusement !! (pour ta dernière phrase). C'est assez étonnant ce mélange de contes... Je n'en connais que trois : Les fées, le briquet et Rumpelstilzschen.

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