Alors là, compliqué.
Le rose est une couleur que je n’aime pas du tout. Il n’y en a presque pas chez moi, une vieille couverture, des objets de récupération de récupération, un sachet plastique gardé parce qu’il est solide. Mais voilà, depuis toujours le rose m’évoque un médicament flashy, antifongique, ou pansement gastrique si je me souviens bien. Un truc immonde que j'ai eu à utiliser dnas mon enfance.
On a l’impression de boire une peinture épaisse au goût de fraise chimique. C’est ça que m’évoque le mot rose. Ou encore, le papier toilette.
Difficile de trouver quelque chose pour valoriser cette couleur qui me met mal à l’aise, tant mon cerveau l’a totalement assimilée au médicament chimique, au point que c’est un rejet physique que j’ai.
Par contre ce n'est pas le cas de Franz West, sculpteur autrichien, qui a choisi de créer pour sa tombe une gigantesque queue de cochon...
Et du rose au cochon, on reste dans la thématique.. l'été dernier au musée juif de Vienne, une très originale exposition " l'amour cachère" abordait les relations sentimentales et sexuelles dans le cadre de la religion juive. Qui est beaucoup plus tolérante à l'égard des galipettes que ne l'est le christianisme en général (enfin, du moment qu'on reste dans un cadre hétérosexuel et légalement reconnu). Il y était précisé que les hommes doivent être attentifs à ce que les femmes soient satisfaites de leurs compétences.
que voit-on lorsqu'on regarde par les trous de serrures? ( de mémoire, des jouets pour adultes... cachères! Oui ça existe!) |
J'aime beaucoup ton regard sur l'interdit.
RépondreSupprimerUn immense merci d'avoir participé, même si tu as le rose en horreur.
Bon 1er mai
Et cette exposition au Musée Juif était très intéressante, instructive sur un sujet totalement inattendu et méconnu. Le musée lui même est passionnant
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