Bienvenue amis curieux!

Pourquoi le Cabinet de curiosités?

Tout simplement parce qu'on y trouve un peu de tout, par ordre de pagaille. Cette idée de collection sans thème déterminé me plaît...

Vous trouverez donc ici un peu de tout, de ce qui fait ma vie, mes loisirs: musique, lecture, voyages, etc...
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samedi 29 septembre 2012

Le fabuleux Maurice et ses rongeurs savants - Terry Pratchett

Bon, pour résumer, je pourrais me contenter de dire c'est du Pratchett. Du bon Pratchett. du grand Pratchett. Mais comme ça serait un peu léger comme  résumer, on va développer un brin.
Imaginons un chat, Maurice, et des rats, pour l'instant encore anonymes, qui vivent dans la décharge proche de l'université de magie du disque Monde. On sait bien que tout ce qui touche de près ou de loin à l'université de magie peut être affecté de manière incongrue par des fuites magiques aux effets surprenants. C'est ainsi que les rats et le chat se sont retrouvé dotés d'une intelligence peu commune et de la parole.
Imaginons maintenant que Maurice, comme tous les chats, soit un peu, beaucoup roublard, qu'il découvre que l'argent fait tourner le disque monde et qu'il décide donc de s'en procurer en manipulant les humains à sa guise.
Imaginons qu'il embarque dans son projet un gamin un peu naïf mais doué pour la flûte, et une troupe de rats qui a découvert ce que l'organisation et la communication peuvent apporter lorsqu'il s'agit de planifier une invasion dans un village humain. Voilà! c'est ça, les rats envahiront le village, rendront les gens fous, le maire se mettra en quête d'un joueur de flûte, Le gamin à l'air naïf et Maurice arriveront comme par hasard,et feront fuir les rats contre un jolie récompense. Avant de passer au village voisin. Et les gens  ne sauront pas que  quelques kilomètres plus loin et quelques heures plus tard, un flûtiste, un chat et une centaines de rats se partagent le magot. Tout va pour le mieux dans cette petite escroquerie en bande organisée jusqu'au jour où la troupe arrive au village de Bad Igoince, dont les chasseurs de rats officiels vont leur causer pas mal de fil à retordre.

et bien sur le conte du joueur de flûte de Hameln passé à la moulinette de l'imagination de Practhett devient un grand moment de rigolade ( j'ai du prévenir mes collègues de travail, c'est véridique, de ne pas s'inquiéter s'il m'entendaient glousser), car l'on y apprend comment les rats inventèrent la natation synchronisée dans la crème, et le saut à l'élastique pour sauver l'un des leurs en détresse.

En dépit de ce traitement humoristique, le fond est assez philosophique ( ce qui me fait penser que le classement Roman pour enfants dont il a fait preuve outre manche soit vraiment adapté) car les rats se découvrent une conscience et tout ce qu'elle implique: il faut inventer un langage - proche des peintures rupestres- un code moral: a-t-on le droit de manger un autre rat, même s'il n'est pas intelligent. Et bien sur , ce qui fait le désespoir de tout être pensant sur le disque ou ailleurs: la nécessité de coopérer pour sauver sa vie, l'empathie qui vous pousse à sauver celle du voisin, à partir du moment où l'on se rend compte qu'on est mortel. Et d'ailleurs, qu'y a-t-il après la mort? Et nos rats vont donc devoir inventer leurs propres rituels, car un enterrement rat, c'est une chose inédite. Et trouver les réponses à leurs questions existentielles dans LE livre, le seul, l'unique: " l'aventure de Monsieur Lapinou". Rien de très accessible avant un certain âge quand même.

Mais malgré des passages noirs, voire tristes, l'ensemble du roman est vraiment drôle, notamment tout ce qui parodie les contes, via Malicia Crime,la conteuse, descendante des illustres soeurs Crime, qui décide d'arranger le réel à sa sauce lorsqu 'il manque de ressort narratif, et empote partout où elle va un immense sac qui contient tout ce qu'elle peut imaginer, en cas où " quelque chose se passe" ( du genre: médicaments au cas où elle serait enlevée par des pirates - son village est en pleine montagne- puis abandonnée sur une ile déserte et qu'elle aurait du mal à digérer les noix de coco)
Malicia, qui dit avoir deux affreuses soeurs qui l'obligent à faire les corvées ménagères ( enfin, la vaisselle une fois par semaine) et à porter des haillons ( enfin, elle est obligée de recoudre elle même l'ourlet de sa jupe quand il se défait).. toute ressemblance avec une autre histoire est évidemment absolument fortuite n'est-ce pas?
Dommage que ce roman soit un volume isolé en marge des différents arcs du disque monde, j'aurais volontiers retrouvé le rat philosophe pistou et la lexicologue Pêches, le chef Pur-Porc et l'organisateur Noir-Mat, la bleusaille Nutritionnelle et le rat danseur Sardines ( je ne me lasse pas de leurs noms  trouvés lorsqu'ils sont appris à lire sur des boîtes entassées dans une cave).
Spécial Pratchett. Animal: Rongeur

vendredi 28 septembre 2012

Nihongo no jikan - semaine 14

et dernière semaine, pour le moment!

des semaines de plus en plus espacées, car finalement depuis quelques temps, je n'apprends plus vraiment de nouveau, je potasse surtout les quelques 150 kanjis que je connais.

Dans la série des ressources utiles pour apprendre seul, une copine m'a envoyé ce jeu pour console DS. donc j'en parle en vitesse: il y a du bon et du moins bon. Le bon, c'est le test de début qui permet de se situer au niveau de l'apprentissage, j'ai donc pu zapper les 10 premiers niveaux pour attaquer directement au 11° sans problèmes pour raccrocher les wagons. C'est aussi la possibilité d'écouter les exemples de mots et de phrases prononcés, de s'enregistrer et de diffuser en simultané l'exemple et l'enregistrement pour voir si ça colle ou non ( intéressant pour la vitesse de prononciation et la prosodie). Le moins bon, c'est que le jeu est en anglais, donc ça oblige à une gymnastique entre le français, l'anglais et le japonais qui devient assez vite fastidieuse.

Sinon: J-7, J-7 J-7! Haha! je sens que vous me détestez!
Reservation train: fait
réservation hôtel a l'aller et au retour: fait
valises: trouvées, il n'y a plus qu'à commencer à les remplir mardi prochain!
Ca mérite au moins un Totoro content!

La série de billets sur le sujet se termine donc MOMENTANEMENT. Car maintenant que je me suis remise dans le bain, ça serait dommage de tout laisser en plan au retour, d'autant que plusieurs copines sont intéressées pour y aller / y retourner aussi, je n'attendrais surement pas à nouveau 5 ans pour aller faire un tour en Asie à nouveau. Probablement pas l'an prochain  malgré tout - à part que le Yen se casse complètement la figure, que l'Euro monte en flèche et qu'on puisse donc voyager à prix ultra compétitif, mais il y a peu de chances! Enfin, le voyage étant la meilleure carotte pour continuer à bosser, je préfère me dire qu'il ne faut surtout pas que le soufflé retombe. Et en fait, si  le premier voyage il y a 5 ans, avait été décidé un peu au hasard sur la base de " ouaaaah! j'arrive à l'autre out du monde pile le jour de mes 30 ans" - ç'aurait aussi bien pu être en Chine ou au Mexique), cette fois,  c'était vraiment " je n'ai aps tout vu la première fois, il faut que j'y retourne". Et chose que je n'avais pas encore dite, c'est un auto cadeau que je me fais, avec quelques mois d'avance pour fêter ma titularisation en tant que fonctionnaire en Janvier prochain. Et pour les 35 ans avec un peu de retard  aussi, oui...

Je ne saurais que trop vous conseiller d'aller jeter un coup d'oeil au blog BD Yatuu,( c'est l'occasion rêvée pour relayer un blog que j'aime bien en plus, je m'y reconnais assez en tant que chômeuse qui a enchaîné les petits contrats moisis avant de voir quelque chose de sérieux se confirmer)  qui résume pas mal mon état mental actuel!
Pour voir la suite, c'est là, à la page du 22 août
Comme j'aurais surement du mal à poster avec ma petit tablette Android, je vous dis rendez- vous fin octobre pour le compte rendu du voyage - et vu le milliasse de photos que je vais prendre, ça aussi, ça risque d'être retardé ;)

 O ki o tsukete les amis!

jeudi 27 septembre 2012

et on tuera tous les affreux - Boris Vian

bon, j'ai remis à plus tard ce billet, car résumer le livre en question est un peu un tour de force.

Disons qu'il s'agit de la mésaventure de Rocky, jeune sportif prometteur qui fait tourner la tête à plus d'une femme, mais s'est juré de rester puceau jusqu'à 20 ans - si je me souviens bien. Déjà , c'est un parti pris assez surprenant, mais bon, suivons donc Rocky le célibataire par vocation. Ca commence mal pour lui, puisque dès le premier chapitre il est assommé, enlevé et emmené nuitamment dans une sorte de laboratoire expérimental où on espère le forcer à faire des choses plus où moins salaces avec une superbe femme. Rocky réussit à échapper à la corvée, mais désireux de se venger de ses kidnappeur, se retrouve mêlé à une sale affaire  où il sera question de sexe ( et le célibat du pauvre Rocky sera mis à rude épreuve plus d'une fois), d'enquête policière, de science fiction et d'eugénisme. car l'organisation qui est derrière tout ça espère purement simplement éliminer à terme les moches de la surface de la terre en forçant les gens beaux à se reproduire entre eux, d'où les affreux du titre.

Difficile d'en dire plus sans déflorer ( si j'ose dire.. et oui, j'ose! ) l'intrigue totalement farfelue pleine de retournements de situation totalement farfelus eux aussi. Tout y est accentué à l'extrême: les bandits patibulaires, les situations gaguesques comme les coups de théâtre hyper classique du film noir américain ( un film noir qui aurait largement échappé à la censure et au code Hayes)  Disons que c'est un pastiche volontairement absurde des clichés du polar et de la science fiction - en tout cas on ne m'ôtera pas de l'idée qu'il y a une énorme référence à l'Ile du dr Moreau et au Meilleur des Mondes.

Dans l'absolu , ce n'est pas le Vian que j'ai préféré pour l'instant, mais j'ai quand même passé un bon moment de rigolade à suivre les aventures outrancières de Rocky et de ses amis ( Je pense quand même qu'il serait difficile de les adapter en film sans risquer un classement  X. Autant ça passe à l'écrit avec le talent d'écrivain de l'auteur qui justement en rajoute des louches pour faire rire, autant à l'image, ça serait directement soit censuré soit classé +18)
spécial vian: catégorie gros mot: un affreux!

Oui bon, c'est de l'insulte gentille, mais c'est l'idée qui est contenue dans le titre.

mardi 4 septembre 2012

Marie- Antoinette - Stefan Zweig

un billet lecture, il y avait longtemps.

Il faut dire que l'été a été tout sauf reposant, et de plus une collègue m'a prêté ce pavé ( je ne m'attendais pas à un livre de quasi 500 pages) auquel j'ai quand même eu du mal a accrocher je l'avoue. Mais je l'ai terminé!

Déjà, je sais que Zweig est adulé par pas mal de monde, ce qui en fait un auteur presque intouchable, et pourtant, à la lecture de Marie-Antoinette, j'ai un peu de mal à comprendre pourquoi il a autant d'admirateurs. Mais bon, étant donné que la biographie est loin d'être un de mes genres favoris, je lui laisserai une autre chance de me convaincre, via un texte de fiction.

Alors oui, je reconnais qu'il s'est documenté, le livre est complet, très complet, trop complet j'ai envie de dire. Et en même temps, il passe à côté de choses essentielles, à se concentrer uniquement sur son personnage central. Marie Antoinette est partout, je suis même étonnée qu'il consacre un chapitre à Mirabeau. En plus, lorsque Zweig l'a écrit, la psychanalyse était une discipline nouvelle, et il se jette dedans à pieds joints, de manière un peu exagérée. Ce qui donne des passages assez étranges, lorsqu'il nous dit que la cause principale de la Révolution française est la frustration sexuelle de la reine... oubliant totalement de regarder ce qui se passait autour ( à part ça la révolution était en germe depuis pas mal d'années dans les écrits des philosophes des lumières, mais comme il ne prend pas en compte le cadre social, il passe le fait totalement sous silence). Pour nous dire quelques pages plus loin qu'une fois le mariage consommé, une fois mère de famille, elle s'est calmée, sauf que les fêtes , les dépenses ont continué. Il y a là un manque de logique dans son raisonnement.
De même son insistance dans les premiers chapitre à souligner à quel point Marie Antoinette est vive, jolie, gaie - oui, d'autre part il peut difficilement souligner son bon sens quand même Marie-Thérèse parle de sa fille comme d'une " tête à vent"- et Louis XVI timide, lourdaud et ennuyeux.. ben sur moi ça a l'effet inverse: la ficelle est tellement grosse que je suis obligée de prendre Louis XVI en sympathie ( car oui, souligner " regardez la pauvre fille d'à peine 14 ans, mariée contre son gré à un étranger, un homme qu'elle n'a jamais vu et qui a un caractère tellement différent du sien", ben il suffit de réfléchir 5 minutes pour se dire que c'était le lot d'à peu près tout le monde à l'époque, du moment qu'il y avait quelques sous ou un titre, voire un simple champ. Et que le sort des garçons n'était pas finalement plus enviable: "regardez le pauvre garçon de 14 ans, marié sans qu'on lui demande son avis par son grand-père à une étrangère au caractère si différent du sien" , ça marche aussi dans les deux sens...)

Autant le dire de suite, Marie- Antoinette m'énerve dans le sens où elle aurait eu vingt fois l'occasion de redresser la barre et de s'éviter une fin sinistre. C'était à peu près le même énervement qu'en lisant L'assommoir d'ailleurs, vis à vis de Gervaise qui laisse passer toutes les occasions de s'en sortir par orgueil mal placé. sauf que Zola faisait un oeuvre de fiction, et bizarrement avec des personnages ayant existé, ça passe beaucoup moins bien.  Je trouve ce livre très daté, car il se veut précis et manque d'objectivité. Il romance trop. dans une bigraphie, des phrases comme
"Dans la salle surchauffée où viennent se dérouler les débats, la flamme des chandelles  vacille en même temps que frémit de curiosité et d'anxiété le coeur des hommes" ou
"légère et dégagée la machine se détache sur le ciel gris, oublié par un dieu cruel, et le oiseaux, ignorant la signification de ce sinistre instrument, le survolent avec insouciance."
Ben c'est tellement trop pathétique, que finalement, ça casse complètement l'effet d'une scène de procès ou d' Execution ( alors qu'il vient de reprocher le ton trop lyrique du comptee rendu du procès par l'accusateur public Fouquier-Tinville, au passage).

Alors, même si le livre devient plus intéressant à partir de l'affaire du collier, définitivement, non, je ne suis toujours pas convaincue par le bien fondé des biographies, surtout lorsqu'elles prétendent définir que ce que untel pensait à ce moment là, et ce qui se passait dans sa tête.

Alors que j'avais beaucoup aimé le manga la rose de Versailles ( qui s'est inspiré largement de ce livre), car il introduisait des personnages de fiction au final bien plus intéressant que les personnages historiques., je trouve que Zweig reste trop à mi chemin: pas assez objectif pour une étude historique, pas assez romancé pour être vraiment intéressant.

Par contre il y a une chose qui est intéressante: c'est de voir comment un écrivain étranger à travers ses choix lexicaux, trie les informations qui vont dans son sens: il ne parle au final quasiment pas des personnages qui sont considéré comme importants d'un point de vue français ( Robespierre est à peine évoqué, juste pour reconnaitre son intégrité et le fait qu'il détestait cordialement Hébert, lequel devient un personnage de premier plan. Si on se souvient de nos cours d'histoire, c'était quand même plutôt l'inverse). Ou la part active, passée le plus souvent sous silence qu'on pris les frères de Louis XVI à sa chute ( il faut croire que la restauration a fait du bon travail pour faire oublier à quel point a rendu service aux ambitions personnelles des futurs Louis XVIII et Charles X, et que lutter contre elle et sauver leur frère aurait été totalement contre leurs projets)

Et d'autres partis pris en disent beaucoup plus long sur l'histoire contemporaine de Zweig en Autriche dans les années 30 que sur la France de la fin du XVIII° siècle... lorsqu'il insiste sur le déracinement de la jeune reine, ou le racisme dont elle a été victime ( le mot n'est pas dit, mais lorsqu'on se réfère à quelqu'un en rappelant son origine étrangère, c'est l'idée) je viens de vérifier, mais comme par hasard, le livre a été écrit juste avant qu'il ne parte lui-même en exil.
En avait-il conscience? ça, ce serait intéressant à savoir!

dimanche 2 septembre 2012

salut les p'tis clous (2)

la suiiite du top 50 de début septembre 1986. là on arrive vraiment dans les trucs inconnus - oubliés, les groupe qui ont sorti 1 seul 45 tous

26- Blossom child - I pray ( admirez et marrez vous! quel accent anglais magistral!)
27- Sandy Marton - exotic & erotic ( oui, vous aussi, vous vous attendiez à une femme, avouez!)
28 - Caroline Grimm - la vie sans toi ( c'est pas marrant, elle dit, sauf que... hahaha!! non, je peux pas m'en empêcher, une voix horrible, un clip kitsch, un texte dépressif, ben ça me fait rire!)
29- Queen - a kind of magic ( je danse encore là dessus, sans problèmes!)
30- Arnold turboust - Adelaide (au moins c'est volontairement ridicule)
31- Den Harrow - charleston ( quelle chorégraphie digne de l'eurovisondécidément l'italo pop anglophone de l'époque, je peux pas!)

32- moderrn talking - Brother Louie ( c'est marrant, les chevelus des années 80, ça fait pas le même effet que ceux des années 70...)
33- JJ Goldman - pas toi ( enfin, un truc encore connu)
34 - Marc Lavoine - le parking des anges ( je croyais ce titre plus récent en fait)
35 - Samantha fox - touch me  (ceci est un blog correct, donc non, vous n'aurez pas la vue plongeante sur le talent de Samantha Fox, même si la chanson est potable)
36- Erasure - ho l'amour (ça pourrait être pas mal, sans le gros synthé obligatoire de l'époque)
37 - Julie Pietri - eve lève toi ( là aussi, on l'entend encore régulièrement, donc..)
38- Nicole - don't you want my love ( j'aimais bien, ça claque pas mal)
39- The cure - boys don't cry ( je ne me suis jamais vraiment remise de ma période Cure!)
40- Viktor Lazlo - canoé rose (du prototype de slam! jamais entendu je crois...)


41- Diana ross - Chain reaction (punaise ces robes " queue de sirène" c'était .. moche!)
42- muriel dacq - là où ça (pas sure que ce genre de cliché des antillais passerait encore..)
43- Mylène Farmer - libertine (Mylène en chevalier d'Eon.; elle a perdu en style plus tard en devenant une espèce de copie de Madonna)
44 - Sndra Kim -j'aime la vie ( tant mieux pour elle, mais on s'en fout! bon l'eurovision a connu pire depuis... le problème c'est qu'elle dit "j'aime le vie", ça fait tache pour une gamine de 15 ans!)
 45- Century - Jane (ok, juste parce qu'il y a des musiciens qui jouent d'instruments!)
46- Marlène Jobert - Hei amore ( c'est toujours pareil quand une actrice se met à chanter...heureusement, elle n'a pas persisté!)
47- Falo -Jeanny (oui ils ont fait autre chose que Der Kommissär ou rock me amadeus)
48- Fake - brick ( s'appeller Fake et ressembler à tous les autres groupes de l'époque, c'est magique!

50- George Michael - different corner
 bon j'aurais vraiment préféré tomber sur une autre époque , une autre semaine, mais c'était marrant de voir qu'au final, il y a tellement de choses qu'on a oubliées, jamais entendues et qui pourtant étaient parmi les meilleures ventes. au final, il n'en reste qu'une poignée en mémoire, et pas toujours les meilleures

samedi 1 septembre 2012

Salut les p'tits clous (1)

Derrière ce titre ésotérique que les moins de 20 ans ne peuveuuuuunt pas connaaaaaaître se cache un billet un peu en marge. Les gens de ma génération auront évidemment reconnu la phrase favorite de Marc Toesca en ouverture du top 50.

En fait l'idée m'est venue en triant des vieux journaux récupérés chez ma grand-mère. J'ai retrouvé un journal Tv datant de début septembre 1986, dites donc! la couverture vaut son pesant de cacahuettes: Larry Hagman propose sa méthode pour arrêter de fumer (oui, Larry Hagman, alias JR, le texan millionnaire et manipulateur, accro au cigare, que tout le monde a adoré détester dans Dallas)

 Et à l'arrière des mots croisés, le top 50 du 30 août au 5 septembre. Et, s'il y a pas mal de choses dont je me souviens, certaines pffff.... le défi étant "puisqu'on trouve tout sur Internet", peut-on reconstituer le top 50 de cette semaine là? chiche?

Et donc voilà  ce qu'on pouvait entendre à la radio l'été de mes 9 ans et demi.

1 - Images - Les démons de minuit (une ^)à=^= de scie qu'on nous ressort à chaque soirée Revival sevnties, impossible de l'oublier)
2 - Gold -Ville de lumière ( pareil!)
3- Madonna - papa don't preach ( vous pensez qu'on parlera encore de Lady gaga dans 26 ans?)
4 - Spagna - Easy Lady (gneuh?). Après écoute, ça me rappelle vaguement quelque chose, mais bon sang, j'avais presque oublié ces choucroutes peroxydées et ces synthés si typiques des clips de l'époque :D
5 A-Ha - Hunting high and low. Un peu mou à mon goût, mais des harmonies assez sympa. Marrant, Stratovarius a un chanson exactement du même titre, qui n'est pas du tout une reprise ( et qui remue carrément plus)
6 - Sabine Paturel - Les bêtises ( sisi la meilleure vente française de cette saison, c'était "les bêtises" :D)
7 - Jeanne Mas - En rouge et noir. Même pas besoin de mettre le lien, je sais que vous l'avez déjà en tête.
8 - Niagara - l'amour à la plage ..( ahou tchatchatcha!)
9 - Bananarama - Venus.  juste parce que le clip est une sorte de synthèse de l'époque: c'était ridicule, mais on assumait
10 - Indochine - Tes yeux noirs ( en 2002, j'ai rencontré des jeunes qui croyaient qu'Indochine était un groupe récent )
11 - Cock robin - the promise you made (ça, on l'entend encore de temps en temps)
12- Stéphanie de Monaco - Ouragan ( Stephaniiiiiiiie de Monacooooooooo!)
13- Sandra - Innocent love (non décidément, même en écoutant, là, ça me dit rien du tout)
14-  Bonnie Tyler - If you were a woman ( daté, mais ça se laisse écouter)
15- Catherine Lara - Nuit magique ( ça passe encore assez régulièrement sur les radios on va dire, de gens pas très jeunes)
16- Jean Michel Jarre - 4° rendez vous
haaa Jean-Mi et son sythé soucoupe volante ( pas ce qu'il a fait de mieux, mais rien que le voir s'agiter , ça me fait rire!) à faire entendre aux gamins qui croient que l'électro a commencé avec Guetta ( perso, je leur filerais directement du Tangerine Dream et du ELP comme ça, sans préavis!)

17-Bibie - j'veux pas le savoir ( ma mère avait le 45 tours, donc je m'en rappelle bien)
18 - Alphavile - Dance with me ( autant je me souviens bien de forever young, autant celle là ne me dit rien du tout!)
19 - les avions - nuit sauvage (j'aurais été incapable de retrouver le nom du groupe)
20 - Jakie Quartz - vivre ailleurs.. juste pour la veste à épaulettes bariolée, teeeellement typique des années 80. aaaah, et la géode, c'était le summum du moderne!
21 - Madonna - Live to tell (ok elle est toujours là, avec plus ou moins d'efficacité.. mais je préfère la Madonna de 86!)
22- Wham! - The Edge of heaven (des fois, y'a des trucs qu'on a entendu un millier de fois sans connaître le titre..)
23 - lio - les brunes comptent pas pour des prunes ( bonjour la scie!)
24-  Partenaire particulier - je n'oublierai jamais ( sans rire, ils ont fait plus d'un titre? ça doit être la face B)
25- Cora - Amsterdam ( inconnu au bataillon, mais une chanson en allemand dans les meilleures ventes, je suis obligée de vous la mettre en lien)

la suite demain...